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Le Pape François a exprimé sa solidarité avec les familles de sept étudiants qui ont été "tués de façon barbare" à la suite d’une attaque le 24 octobre dans leur école située dans le diocèse de Kumba au Cameroun.
Les membres de la Compagnie de Jésus (Jésuites) en Afrique ont qualifié d'"acte odieux et méprisable" la fusillade d'enfants dans une école au Cameroun, qui a fait des dizaines de morts et de nombreux blessés, et ont appelé les autorités de ce pays d'Afrique centrale à agir rapidement afin de mettre fin à la violence qui continue à secouer le pays.
Les allégations selon lesquelles Mgr George Nkuo du diocèse de Kumbo au Cameroun aurait donné la bénédiction à certains membres des séparatistes, ce qui a été interprété comme un soutien de l'évêque aux "activités des combattants armés indépendantistes" ont été "mal interprétées" et sont "trompeuses", a déclaré un responsable du diocèse dans un message envoyé à ACI Afrique.
Suite à l'attaque d'une école dans le diocèse catholique de Kumba au Cameroun le week-end dernier, qui a fait au moins sept morts et des dizaines de blessés, l'Ordinaire du lieu a prévu de célébrer la Sainte Messe à la Cathédrale le vendredi 30 octobre.
Un prélat, au milieu de la crise anglophone prolongée au Cameroun, a souligné la nécessité pour les chrétiens d'utiliser les "armes" données par Dieu dans leur lutte contre la violence qui touche le peuple de Dieu dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest de la nation centrafricaine depuis 2016.
Un membre de la Compagnie de Jésus (SJ) qui a été arrêté peu après s'être engagé dans un pèlerinage de 200 kilomètres pour prier pour la paix au Cameroun a condamné les mauvais traitements qu'il a reçus de la part de la police.
Un membre de la Compagnie de Jésus (Jésuites) au Cameroun qui s'est engagé dans un pèlerinage de 200 kilomètres dit qu'il a consacré l'initiative spirituelle aux efforts de dialogue, de paix et de réconciliation dans les régions anglophones de la nation centrafricaine, qui ont connu de violents conflits depuis 2016.
Les communicateurs catholiques du Cameroun ont été invités à jouer le rôle de gardiens de la paix, en prenant note des événements de la société et en s'efforçant de protéger le peuple de Dieu contre le mal, en collaboration avec leurs évêques respectifs.
Les évêques catholiques de la province ecclésiastique de Bamenda au Cameroun ont, dans un message collectif, exprimé leur "complète solidarité" avec l'administrateur apostolique du diocèse de Buea qui a été assiégé par des controverses administratives, la principale étant les changements qu'il a décrétés pour la direction de l'Institut universitaire catholique de Buea (CUIB).
À l’approche des élections régionales au Cameroun, un évêque catholique de ce pays d'Afrique centrale a fait part de ses inquiétudes quant à la tension croissante entre les partis politiques dans un "chaos rampant" attribuant l'état des choses à la “faiblesse des structures gouvernementales".
L'évêque du diocèse de Kumbo au Cameroun a, à l'occasion de son 14e anniversaire épiscopal, mis en évidence les défis auxquels il est confronté dans le cadre de la crise anglophone prolongée dans la nation centrafricaine, exprimant l'espoir que la violence cesse bientôt.
L'identité de deux prêtres africains décédés la semaine dernière dans leurs pays respectifs, la Côte d'Ivoire et le Cameroun, a été mélangée dans les médias en ligne, le défunt prêtre ivoirien étant pris pour le Camerounais.
La direction du Denis Hurley Peace Institute (DPHI), basé en Afrique du Sud, s'est jointe aux dirigeants mondiaux, dont le Pape Francis, le chef des Nations unies et les membres de la Campagne mondiale pour la paix et la justice au Cameroun (GCPJC), pour appeler à un cessez-le-feu dans les régions anglophones du Cameroun.
L'administrateur apostolique du diocèse de Buea au Cameroun a, à l'occasion de l'ordination de huit diacres à la prêtrise, souligné la valeur de la promesse solennelle d'obéissance que font les prêtres diocésains lorsqu'ils reçoivent le sacrement de l'Ordre.
La décision du mois dernier de suspendre l’Abbé André Marie Kengne du diocèse catholique de Bafoussam au Cameroun "pour apologie du syncrétisme" a continué à susciter la polémique parmi le clergé et les laïcs de la nation centrafricaine et a attiré l'attention sur la notion d'inculturation en Afrique.
Dans le cadre du 43ème séminaire des évêques catholiques du Cameroun, les bergers du peuple de Dieu dans les différents diocèses de la nation centrafricaine cherchent à délibérer sur les stratégies qui peuvent faciliter le rajeunissement de leur forum collectif, la Conférence épiscopale nationale du Cameroun (CENC).
Le pape François a promu un évêque camerounais connu pour l'importance qu'il accorde à la famille, à la communauté et aux valeurs traditionnelles à la tête d'un archidiocèse dans ce pays d'Afrique centrale.
La rivalité ethnique renouvelée au Cameroun qui oppose, d'une part, les Bamiléké qui contrôlent une grande partie de l'économie du pays et, d'autre part, les Bulu-Beti qui contrôlent l'espace politique depuis des décennies, a attiré l'attention des dirigeants catholiques de la nation d’Afrique centrale à travers un message collectif, dénonçant le tribalisme et demandant « un examen de conscience » sur les actes de discrimination fondés sur « une tribu ou une région ».
Deux prélats catholiques, le cardinal Christian Tumi et l'évêque Andrew Nkea, qui ont récemment dirigé une délégation de paix dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du Cameroun en vue de sensibiliser les citoyens aux propositions faites lors du Dialogue national fin septembre début octobre, ont qualifié leur mission de « réussite » et « bon départ ».