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Les parents de l'Eswatini, anciennement connu sous le nom de Swaziland, exigent des excuses de la part des enseignants après qu'un représentant de l'Association nationale des enseignants du Swaziland (SNAT) ait déclaré soutenir le transgendérisme dans les écoles.
La rencontre du 16 juin avec le Pape François lors de la visite ad limina des membres de la Conférence des évêques catholiques d'Afrique australe (SACBC) a été une source de bénédictions, a déclaré Mgr José Luís Gerardo Ponce de León, évêque du diocèse de Manzini en Eswatini, le seul diocèse catholique de ce pays enclavé d'Afrique australe.
L'atelier de soutien psychosocial organisé par le diocèse catholique d'Eswatini à Manzini vise à "renforcer la résilience" des participants, ont déclaré les responsables impliqués dans la planification de cette formation de deux jours.
Si rien n'est fait pour y remédier, les divers actes de violence perpétrés à Eswatini, y compris l'incendie de biens privés et publics, laissent présager "des temps très difficiles", ont déclaré les habitants à la fondation caritative catholique Denis Hurley Peace Institute (DHPI).
Les représentants des dirigeants chrétiens en Eswatini, sous les auspices du Conseil des Eglises du Swaziland (CSC), sont préoccupés par "une nouvelle culture de méfiance et d'intolérance" qui, selon eux, émerge dans ce pays enclavé d'Afrique australe dans un contexte de défis nationaux.
L'évêque catholique de Manzini, le seul diocèse du Royaume d'Eswatini, s'est rendu à l'école primaire Sts. Elizabeth après que la bibliothèque de l'institution ait été attaquée à la bombe à essence le lundi 4 avril.
L'évêque catholique de Manzini, le seul diocèse du Royaume d'Eswatini, a déclaré que les citoyens attendent que le gouvernement et la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC) donnent des directives sur la date et les modalités d'un dialogue national visant à instaurer la paix dans le pays.