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Les chrétiens de Jérusalem ont entamé le week-end précédant Noël par une soirée de prière et de musique.
Dernier signe en date de l'escalade des tensions entre le Saint-Siège et Israël au sujet du nombre croissant de victimes civiles dans la guerre entre Israël et le Hamas, le pape François a vivement condamné, dans son discours de l'Angélus dimanche, l'assassinat de deux femmes devant une église catholique de la ville de Gaza, qui aurait été perpétré par un tireur d'élite israélien.
Les guirlandes lumineuses tombent les unes après les autres, formant une sorte de rideau de fils devant la basilique de la Nativité à Bethléem. Suite à la décision de la municipalité de suspendre les événements de Noël et d'enlever les décorations, des ouvriers s'affairent à démonter la canopée lumineuse sur la place de la Nativité et à d'autres endroits de la ville.
Parmi les nombreuses expressions de l'Église en Terre Sainte, la communauté catholique hébréophone est la plus petite. Elle compte environ un millier de fidèles catholiques vivant en Israël, immergés dans un environnement culturel et linguistique hébraïque. Bien qu'elle constitue une partie dynamique et diversifiée de la communauté chrétienne, elle reste relativement peu connue, même au niveau local.
Les diocèses couverts par la Conférence des évêques catholiques d'Afrique australe (SACBC) célébreront la solennité du Christ Roi, qui marque la fin de l'année liturgique, en priant pour la paix en Terre Sainte.
Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d'État du Vatican, a condamné les attaques terroristes menées samedi par le Hamas contre Israël, a appelé à la paix en Terre sainte et a déclaré que le Vatican était prêt à contribuer à la médiation d'un accord de paix, dans une interview publiée vendredi par Vatican News.
Le patriarche catholique latin de Jérusalem a appelé à une journée de prière et de jeûne le mardi 17 octobre pour la paix et la réconciliation en Terre Sainte.