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Le pape François a lancé un vibrant appel à la paix dimanche, qualifiant la guerre moderne de "crime contre l'humanité" qui sème la mort parmi les civils et détruit les villes.
Dernier signe en date de l'escalade des tensions entre le Saint-Siège et Israël au sujet du nombre croissant de victimes civiles dans la guerre entre Israël et le Hamas, le pape François a vivement condamné, dans son discours de l'Angélus dimanche, l'assassinat de deux femmes devant une église catholique de la ville de Gaza, qui aurait été perpétré par un tireur d'élite israélien.
La Cisjordanie reste "une immense prison" où les gens ne peuvent pas se déplacer pour obtenir des services de base, et Gaza est en proie à une profonde crise humanitaire, a déclaré un responsable de Caritas, notant que le personnel de l'organisation caritative de l'Eglise basé dans les deux zones n'est pas en mesure d'apporter une aide aux personnes touchées par la guerre actuelle entre Israël et le Hamas.
Le cardinal Pierbattista Pizzaballa, patriarche latin de Jérusalem, a publié une lettre ouverte demandant des dons pour pouvoir soigner les personnes souffrant dans une société "marquée par la haine".
Le directeur d'une agence des Nations Unies aidant les réfugiés dans la région de Gaza déchirée par la guerre a averti dimanche que l'aide à la population sinistrée était insuffisante pour répondre à ce qu'il a décrit comme les besoins "immenses" des civils pris dans le conflit.
Le cardinal Pierbattista Pizzaballa, patriarche catholique latin de Jérusalem, a déploré la semaine dernière la mort de 18 Palestiniens lors d'un tir de missile sur l'église orthodoxe grecque Saint-Porphyre dans la ville de Gaza.
Le pape François a rencontré jeudi le président du Congrès juif mondial (CJM) dans le cadre de la guerre entre Israël et le Hamas. Le président du CJM a imploré le Saint-Père d'utiliser son "autorité morale" pour résoudre la crise des otages dans ce conflit.
Le patriarche catholique latin de Jérusalem a proposé d'être échangé contre les enfants retenus en otage dans la bande de Gaza par le Hamas.
Le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d'État du Vatican, a condamné les attaques terroristes menées samedi par le Hamas contre Israël, a appelé à la paix en Terre sainte et a déclaré que le Vatican était prêt à contribuer à la médiation d'un accord de paix, dans une interview publiée vendredi par Vatican News.
Le patriarche catholique latin de Jérusalem a appelé à une journée de prière et de jeûne le mardi 17 octobre pour la paix et la réconciliation en Terre Sainte.
Le samedi 7 octobre, Israël s'est soudainement retrouvé en état de guerre. Un déluge de roquettes en provenance de la bande de Gaza et des attaques menées par des terroristes du Hamas infiltrés dans les villes proches de la frontière ont provoqué la mort de plus de 1 000 personnes. Parmi elles se trouvaient 11 citoyens américains ainsi que des citoyens de nombreux autres pays.
Le père Gabriel Romanelli, prêtre argentin de l'Institut du Verbe Incarné (IVE) et curé de la paroisse de la Sainte Famille à Gaza, a fait part à ACI Prensa, le partenaire de CNA pour les nouvelles en langue espagnole, d'une déclaration sur la situation après l'attaque du Hamas contre Israël, qui, a-t-il dit, "continue d'être très mauvaise".
Le pape François et le patriarche latin de Jérusalem ont appelé à la paix après qu'Israël a déclaré la "guerre" à la suite d'une attaque majeure menée par des combattants du Hamas au cours du week-end.
Israël est "en guerre", a déclaré samedi le Premier ministre Benjamin Netanyahu, après une série d'attaques surprises à la roquette et d'incursions du Hamas qui ont fait des dizaines de morts et qui ont vu le pays envahi le jour d'une grande fête.
Le pape François a prié dimanche pour que le cessez-le-feu récemment signé entre Israéliens et Palestiniens soit maintenu et que "les armes se taisent".
Le site de fouilles de la piscine de Siloé à Jérusalem, lieu où Jésus a rendu la vue à un aveugle, sera ouvert au public pour la première fois.