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Il devient de plus en plus difficile de joindre les deux bouts au Soudan en raison de la violence persistante et du manque de produits de base, notamment de nourriture, d'eau et d'électricité, a déclaré un prêtre missionnaire catholique dans la capitale du pays, Khartoum.
Un prêtre missionnaire catholique exerçant son ministère à Khartoum, ville en proie à la violence, a déploré la restriction de ses déplacements dans la capitale du Soudan et la difficulté d'établir des communications avec d'autres personnes, alors que les violences se poursuivent depuis le 15 avril dans ce pays du nord-est de l'Afrique.