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La paix de Jésus n'est pas seulement « l'absence de guerre, mais la relation avec Dieu » : Un évêque au Mozambique

La paix que le Seigneur ressuscité et élevé donne à ses disciples et dont il parle ne se limite pas à l'absence de conflits violents, a déclaré Mgr Osório Citora Afonso.

L'évêque auxiliaire de l'archidiocèse catholique de Maputo, au Mozambique, qui prononçait son homélie le 19 mai, dimanche de la Pentecôte, a appelé le peuple de Dieu à comprendre la paix comme l'établissement et le maintien d'une relation avec Dieu.

« La paix dont parle Jésus n'est pas seulement l'absence de guerre », a déclaré Mgr Osório.

La paix de Jésus, a-t-il souligné, est une « relation avec Dieu » qui est une réponse à l'amour « qu'il a pour nous ; et c'est cet amour dont nous sommes témoins dans notre société ».

« Là où nous sommes, dans nos paroisses, dans nos régions, dans notre archidiocèse, nous sommes invités à être des messagers de paix, des messagers d'amour et des messagers de communion », a déclaré le chef de l'Église catholique à la paroisse Saint-Jean-Baptiste de l'archidiocèse de Maputo.

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C'est en encourageant la paix et l'amour que « nous renouvelons la face de la terre », a ajouté le membre de l'Institut des Missionnaires de la Consolata (IMC), né au Mozambique.

Il a appelé le peuple de Dieu dans la nation d'Afrique australe à être une Église missionnaire « qui sort pour témoigner de l'amour, pour témoigner de la paix ».

Le chef de l'Église catholique, qui a été consacré évêque auxiliaire de l'archidiocèse de Maputo le 28 janvier, a décrit la Pentecôte comme « un temps nouveau » qui, selon lui, « doit être guidé par l'Esprit Saint ».

En vivant sous l'influence de l'Esprit Saint en « ce temps de l'Église », a-t-il dit, le courage remplace la peur ; c'est le moment d'aller de l'avant.

« Nous sommes capables de renouveler la face de la terre lorsque nous sommes cette Église qui vit l'unité dans la diversité, une Église qui est un groupe de jeunes capables non seulement de reconnaître les dons que l'Esprit Saint nous donne, mais aussi de les vivre », a ajouté l'évêque catholique de 52 ans.

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