"La foi n'est pas un jeu" : Une association pro-vie dénonce l'endoctrinement aux Jeux olympiques

"Ils veulent endoctriner tout le monde en imposant une seule façon de penser et donc nous 'aplatir' pour que nous pensions comme eux en ce qui concerne la fluidité sexuelle, l'indifférence et l'annihilation des différences saines et belles entre les hommes et les femmes."

"L'objectif est également très clair : si nous sommes tous 'aplatis' et que nous sommes tous égaux, sans différences, nous sommes tous manipulables", a-t-il souligné.

Pour M. Coghe, les Jeux olympiques de Paris sont devenus "le théâtre d'un message de haine qui offense des millions de chrétiens", qui met en danger "l'innocence des jeunes" et qui vise à faire avancer "l'agenda LGBT".

Il a également souligné que, bien que des tentatives soient faites pour "normaliser" l'idéologie du genre au niveau politique, "nous voyons constamment que la société n'est pas du tout d'accord".

"En Italie, par exemple, cela a été démontré par le succès de la pétition contre le blasphème lors de la cérémonie d'ouverture, qui a recueilli en quelques jours près de 15 000 signatures", a-t-il souligné.

Le porte-parole de Pro Vita & Famiglia a rappelé qu'"il y a eu beaucoup de protestations et de citoyens indignés, tant à cause de ce spectacle hypocrite et profanateur qu'à cause des cas d'athlètes 'trans' aux Jeux olympiques ou dans d'autres compétitions".

M. Coghe faisait ainsi référence à la décision du Comité international olympique d'autoriser deux boxeurs porteurs de chromosomes masculins XY à participer à des compétitions féminines.

Le législateur italien Rossano Saso a soulevé la controverse à la Chambre des députés (chambre basse) du pays, où il a déclaré que "la folie idéologique des woks a dépassé toutes les limites de la décence, de la dignité et du respect des droits de la femme".

"C'est précisément dans les compétitions sportives que l'on observe les contradictions les plus flagrantes de l'idéologie du genre, selon laquelle l'identité de genre prévaut sur l'identité biologique", a-t-il souligné.

"Ce n'est pas de l'inclusion, ce ne sont pas des droits, c'est un mouvement idéologique progressiste contre les femmes", a souligné M. Saso.

Le porte-parole a également rappelé que le pape François a qualifié l'idéologie du genre de "colonisation idéologique" dévastatrice.

Cet article a d'abord été publié par ACI Prensa, le partenaire de CNA pour les nouvelles en langue espagnole. Il a été traduit et adapté par CNA.