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Pape François : Que se passerait-il si nous priions plus et nous plaignions moins ?

Le pape François prie lors de l'audience générale du mercredi 1er mai 2024, dans la salle Paul VI au Vatican. Le pape François prie lors de l'audience générale du mercredi 1er mai 2024, dans la salle Paul VI au Vatican.

"Que se passerait-il si nous priions davantage et si nous nous plaignions moins ? a demandé le pape François le 2 août sur son profil officiel sur X. Il a ensuite invité les fidèles à demander au Seigneur "la grâce de savoir prier les uns pour les autres".

Il a ensuite invité les fidèles à demander au Seigneur "la grâce de savoir prier les uns pour les autres".

Le Saint-Père a publié ce message dans le cadre de l'Année de la prière 2024, qu'il a proposée comme préparation au prochain Jubilé de l'espérance 2025.

Le pape a inauguré l'actuelle Année de la prière le 21 janvier, et depuis, il a invité les fidèles à se mettre en présence du Seigneur à de nombreuses reprises, notamment par le biais du hashtag #YearofPrayer.

Tout au long de son pontificat, le pape François a souvent rappelé l'importance d'éviter de se plaindre des autres et les "commérages", qu'il a qualifiés de "fléau dans la vie des gens".

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Lors d'une prière de l'Angélus en septembre dernier, il a déploré que "la première chose qui se crée habituellement autour de ceux qui commettent des erreurs est le commérage, dans lequel tout le monde découvre l'erreur, avec tous les détails, sauf la personne concernée. Ce n'est pas correct et cela ne plaît pas à Dieu", a-t-il affirmé.

"Je ne me lasse pas de répéter que les commérages sont un fléau dans la vie des personnes et des communautés, car ils sont source de division, de souffrance et de scandale, et n'aident jamais les gens à s'améliorer et à grandir", a répété le Saint-Père.

À une autre occasion, il a averti que les commérages sont un "poison mortel" et quelque chose de "très mauvais" qui détruit la "communion humaine".

"Ne parlez jamais mal les uns des autres. Si vous avez un problème avec une sœur ou un frère, allez le lui dire face à face. Et si vous ne pouvez pas le faire, avalez-le, mais n'allez pas répandre des troubles qui font du mal et détruisent", a conseillé le Saint-Père.

Cet article a d'abord été publié par ACI Prensa, le partenaire de CNA pour les nouvelles en langue espagnole. Il a été traduit et adapté par CNA.

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Almudena Martínez-Bordiú