Les séminaristes au Ghana concluent un atelier en s'engageant à « adopter une approche synodale dans le soin des âmes »

Ils expriment en outre leur engagement à faire de la méthode « Conversation dans l'Esprit » un mode de vie. Cette méthode, disent-ils, les aidera à cultiver une atmosphère de confiance et d'ouverture.

« Elle nous aidera également à écouter ce que l'Esprit Saint nous dit à travers nos expériences et celles des autres », affirment les séminaristes dans leur déclaration d'une page à l'issue de l'atelier qui s'est achevé le 29 août.

S'inspirant du pape François, qui a encouragé le peuple de Dieu à embrasser les trois vertus de la synodalité, à savoir « penser comme Dieu pense, surmonter l'exclusivité et cultiver l'humilité », les séminaristes s'engagent à être des « agents actifs » dans la promotion d'une Église synodale au Ghana.

Ils affirment leur engagement à l'égard des trois vertus synodales en déclarant : « Nous serons des agents actifs pour l'émergence d'une Église synodale au Ghana ».

Les séminaristes s'engagent également à soutenir les fidèles de diverses manières, notamment en construisant des ponts, en rétablissant la force et en stimulant la confiance.

Ils s'engagent à « inspirer les gens à rêver, à faire fleurir les espoirs, à stimuler la confiance, à panser les blessures, à tisser des relations nouvelles et plus profondes, à apprendre les uns des autres, à construire des ponts, à réchauffer les cœurs et à restaurer la force ».

Ils reconnaissent les conversations enrichissantes et les diverses perspectives partagées au cours de l'atelier de trois jours.

« Puissions-nous continuer à écouter, à discerner et à agir ensemble, guidés par l'Esprit Saint », implorent les séminaristes de l'Année pastorale au Ghana.