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La Porte Sainte inaugurée à la Merveille Mariale de Rome, lun nouveau cardinal souligne l’espoir à Sainte-Marie-Majeure

Le tintement d'une précieuse cloche ancienne a marqué le début de l'année jubilaire 2025 à la basilique Sainte-Marie-Majeure de Rome, où le cardinal Rolandas Makrickas a ouvert la Porte Sainte le 1er janvier, jour de la solennité de Marie, Mère de Dieu.

Le cardinal lituanien, élevé au rang de cardinal en décembre 2024, a présidé la cérémonie dans le principal sanctuaire marial de Rome, où la « cloche des perdus » a retenti dans la Ville éternelle depuis le sommet de la colline de l'Esquilin.


Dans son homélie, le cardinal Makrickas a souligné la signification spirituelle de la cloche, rappelant qu'elle appelle les pèlerins à la prière depuis le premier jubilé de l'Église et qu'elle continue à servir de symbole sonore de la guidance de Marie, tout comme l'« Étoile de la mer » qui illumine les ténèbres.


« Chaque pèlerin qui franchira le seuil de la Porte Sainte de ce premier sanctuaire marial d'Occident au cours de l'année jubilaire priera devant l'icône de la Mère de Dieu, Salus Populi Romani, et devant la crèche sacrée de Jésus », a déclaré le cardinal au cours de son homélie.


La basilique papale, également connue sous le nom de « Bethléem de l'Occident », abrite à la fois l'icône vénérée de Marie et des reliques de la crèche du Christ. M. Makrickas a souligné le lien entre ces objets sacrés et le document du pape François « Spes Non Confundit », qui annonçait l'année jubilaire.

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Citant la bulle papale, le cardinal a rappelé aux fidèles que les pèlerins sont particulièrement invités à « faire une halte de prière dans les sanctuaires mariaux de la ville pour vénérer la Vierge Marie et invoquer sa protection ».


L'emplacement de la basilique au centre d'un réseau routier en forme d'étoile évoque symboliquement l'étoile de Bethléem, a noté M. Makrickas, reflétant sa mission de 1600 ans de servir comme « une étoile brillante, au service de la Vraie Lumière, pointant vers le Sauveur, vrai Dieu et vrai homme, né de la Vierge Marie ».


Le cardinal a conclu son homélie en confiant l'année jubilaire à la Mère de Dieu, priant pour qu'elle conduise tous les pèlerins à Jésus, « la plénitude du temps, de tous les temps, du temps de chacun ».

Daniel Ibáñez a contribué à cet article.

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