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"Soyez les piliers de la paix et de l'unité au sein des communautés" : Un archevêque au clergé du Soudan du Sud

L'archevêque catholique de Juba au Soudan du Sud a appelé les membres du clergé du diocèse de Torit à promouvoir la paix et l'unité dans la nation d'Afrique centrale et orientale d'une manière sur laquelle ils peuvent compter.

Dans son homélie lors de la messe d'action de grâce pour le centenaire du diocèse de Torit, lundi 21 novembre, Mgr Stephen Ameyu Martin a déclaré que les membres du clergé doivent être conscients de leur rôle au sein du peuple de Dieu.

"Soyez les piliers de la stabilité, de la paix et de l'unité dans vos communautés et travaillez pour le bien de votre peuple", a déclaré Mgr Ameyu lors de la messe célébrée à la cathédrale Saints Pierre et Paul du diocèse de Torit.

L'archevêque sud-soudanais a exhorté les membres du clergé à savoir que leur ministère "est très important pour le peuple de Dieu" qu'ils servent.

"Vous devez réconcilier les gens au sein de la communauté et c'est votre rôle en tant que prêtres car c'est votre responsabilité en tant que messagers de Dieu", a déclaré Mgr Ameyu, et a souligné la nécessité pour les prêtres "de promouvoir la réconciliation entre les communautés pour une paix durable."

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L'Ordinaire du lieu de l'archidiocèse de Juba, qui est également administrateur apostolique du diocèse de Torit, a ajouté : "Nous devons toujours faire de bonnes actions dans notre vie quotidienne pour le bien de l'Église et des communautés."

"Nous devons apprendre à faire les choses de la bonne manière, nous engager à penser de la bonne manière", a-t-il dit, ajoutant qu'en accomplissant la mission comme il se doit, les membres du clergé "seront en sécurité dans l'Église et continueront à l'être dans notre État."

"Que Dieu vous donne un bon cœur afin de vivre les uns avec les autres en paix. Que Dieu nous donne la paix pour vivre ensemble afin que nous travaillions pour le bien de notre Église et de notre pays", a imploré le chef de l'Église catholique de 58 ans dans son homélie du 21 novembre.

Patrick Juma Wani