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Les espoirs d'une partie des Kenyans pour les célébrations de Pâques de cette année se sont effondrés le dimanche 28 mars lorsque leurs lieux de culte respectifs sont restés fermés pour la deuxième fois, conformément aux directives présidentielles de vendredi dernier.
Les dirigeants du diocèse catholique de Ndola en Zambie envisagent de suspendre les célébrations liturgiques en public en raison de l'augmentation des cas signalés de COVID-19 et du laxisme dans l'observation des mesures préventives.
Les membres de la Conférence épiscopale du Togo (CET) ont demandé au gouvernement de ce pays d'Afrique de l'Ouest d'autoriser la reprise du culte public dans toutes les églises dans le cadre des mesures de précaution contre COVID-19.
Dans une déclaration collective annonçant de nouvelles directives pour guider la reprise du culte public au Zimbabwe, les évêques catholiques ont encouragé le peuple de Dieu de la nation d'Afrique australe à prendre part à la célébration de la Sainte Eucharistie en personne.
Les enfants de moins de six ans et les personnes de plus de 65 ans ont été autorisés à participer aux cultes public au Kenya lors de la dernière réouverture progressive qui a également permis de revoir à la hausse le nombre de personnes autorisées à se rendre dans les lieux de culte en même temps.
Le président du Ghana, Nana Akufo-Addo, a prolongé la durée du culte public d'une heure à deux heures à partir du 1er août, en réponse à une pétition qui a été faite par des chefs religieux de ce pays d'Afrique de l'Ouest.
Les enfants qui fréquentent l'école du dimanche et ceux qui vont aux madrassas dans les mosquées font partie des groupes de fidèles qui ne seront pas autorisés à assister au culte public, selon une nouvelle série de directives données par le président du Kenya, Uhuru Kenyatta, qui a annoncé la reprise du culte public dans ce pays d'Afrique de l'Est.